claques visuelles

Ici un tableau de Sliman Mansour, artiste-peintre, résistant anticolonialiste palestinien et artisan de la paix, co-auteur entre autres de l’ouvrage « Both Sides of Peace :

réchauffer la distanciation physique avec le « Covid atey » de la talentueuse Sarah Addouh, architecte et visual artist marocaine⁠. Sarah Addouh sur Instagram : @sarahaddouh

Yémen. 🌙 « Quand la lune est tombée du ciel, elle s’est cassée. » 🌙 Installation de l’artiste yéménite Afraa Ahmed qui rend hommage à la « qamariya »

L’amour-néon (حب / « hob » signifie amour en arabe) par Zoulikha Bouabdellah, plasticienne franco-algérienne. Sa spécialité : des installations et des collages où se recomposent ses

Coup de pinceau abstrait en première lecture, derviche qui tournoie en y regardant de plus près. Une transe visuelle signée Najia Mehadji, artiste franco-marocaine mondialement

« Je suis désolé.e / Je te pardonne » : minimalisme, art islamique, amour et tendresse. Par Arwa Abouon, artiste d’origine lybienne vivant au Canada qui tente

« Le rêve impossible », un dessin politique de Laïla Shawa, artiste palestinienne engagée, qui a donné des cours artistiques pour les réfugiés des camps de Gaza

📷 par Ali Al Shehabi, photographe émirati formé à Tokyo. Son créneau : sublimer le quotidien. Ali Al Shehabi sur Instagram : @alishehaabi

Deux pêcheurs omanais captés par l’objectif du jeune photographe anglais Sabb Adams, fournisseur de claques visuelles cosmopolites ! Sabb Adams sur Instagram : @sabbadams

henna galaxy lips 👄🌌✨ par Saher Jafri, designeuse de mode américaine qui célèbre les identités d’Asie du Sud par l’art et la mode autour des

« Intersections », une installation de l’artiste pakistanaise et américaine Anila Quayyum Agha.⁠ Elle y représente les intersections dynamiques, à la fois frontières et points de rencontre,

Trois sublimes pochettes d’album bien vintage par l’artiste Nabil Mourani, dont notamment celle de « Mosaic of the Orient » d’Elias Rahbani, qui nous a quitté.e.s il

Le travail incroyable de l’italienne Maimouna Guerresi 😍 -extrait de la série The Giants, 2009⁠ Maimouna Guerresi sur Instagram : @maimounaguerresi

Hybrid Girl 6. Par la regrettée artiste iranienne Shirin Aliabadi.

la fièvre du samedi soir.⁠ « wrecking ball » de Mohammad Al-Hemd, graphic designer koweiti⁠ Mohammad Al-Hemd sur Instagram : @m_alhemd

Recomposer nos récits⁠. Tetris calligraphique de l’artiste irano-américaine Pouran Jinchi⁠.

« isra / إسراء / le voyage nocturne », une sculpture en acier rouillé gravée qui mix une référence sacrée et une référence profane (« #starfoullah » !) :

« مكتوب » / « mektoub » / « c’est écrit ».⁠ Nouvelle année, les 🎲 sont jetés, 365 jours pleins de joie … inchaallah ! Claque visuelle de Bobby Rogers,

« La Zone Rouge » de Jalal Sepehr, le photographe iranien qui voit des tapis persans … partout 😮⁠ Jalal Sepehr sur Instagram : @jalalsepehr

حب / amour C’est ce qu’on se souhaite pour 2021 ♥️ Par la visual artist yéméno-bosniaque-américaine Alia Ali. A travers cette oeuvre, elle se réapproprie

« masque bédouin », extrait de la collection E.MAN du styliste anglo-thaïlandais Natthawat Pokaew, collection qui revisite le vêtement touareg comme peuple nomade et libre, seul face

Extrait de la collection Al-Kouture, 2018⁠ de Wesaam Al Badry, qui montre la tension entre le consumérisme occidental et les cultures musulmanes traditionnelles. Il questionne

Comment ne pas évoquer le travail de Kader Attia, artiste et co-fondateur de La Colonie, sur Désoriental ?⁠ L’installation « Holy Land » frôle le sacré :

« Sudanese in my own terms », autoportrait photographique d’Ahmed Umar, visual artist soudano-norvégien. Ahmed Umar sur Instagram : @artbyahmedumar

Extrait de la série ‘Les Femmes du Maroc » de l’artiste pluridisciplinaire Lalla Essaydi. A contrepied de la peinture orientaliste qui prétendait représenter l’essence de LA

Entre tradition et modernité, extrait de la série Qajar de la photographe iranienne Shadafarin Ghadirian.

La « trash couture » d’Ahmed Serour, styliste égyptien contemporain. Ses créations ont un temps d’avance, elles questionnent la masculinité, l’arabité, la religiosité, … et les identités

Illustration « comme un mardi » de l’artiste americanistani (comme elle dit !) Manal Mirza, intitulée Modern Day Royal, ou quand le métro rencontre les miniatures des

Hshouuuuma ! 😮⁠ Visuel cosmique du projet Hshouma de l’illustratrice féministe Zainab Fasiki, qui lève les tabous liés au corps et à la sexualité qu’elle

« L’Union des pouvoirs », un ballon de foot en morceaux de tapis de prière, par le visual artist marocain Hicham Matini qui s’intéresse à la représentation

Jeune homme en costume traditionnel gnawa, photo saisissante de la série « The Morrocans », par la regrettée Leila Alaoui⁠.

L’iconique Farida Khelfa par l’iconique Jean-Paul Goude, 1985. Deux ans après les marches des libertés, aussi appelées la « marche des beurs » par les médias. Une

Obsession pour les peintures en illusions de tapis persans, de Jason Seife, artiste américain reconnu aux origines moyen-orientales⁠. Jason Seife sur Instagram : @jasonseife