Elle est l’une des chouchou.e.s de cette rentrée littéraireC’est l’occasion de redécouvrir son roman L’Art de Perdre. Extrait de la quatrième de couv’ de ce Goncourt des Lycéens 2017 :

« Son grand-père Ali, un montagnard kabyle, est mort avant qu’elle ait pu lui demander pourquoi l’Histoire avait fait de lui un « harki ». Yema, sa grand-mère, pourrait peut-être répondre mais pas dans une langue que Naïma comprenne. Quant à Hamid, son père, arrivé en France à l’été 1962 dans les camps de transit hâtivement mis en place, il ne parle plus de l’Algérie de son enfance. Comment faire ressurgir un pays du silence ? »

L’Art de perdre, d’Alice Zeniter

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