Confinement ? Un peu ? beaucoup ? Pas confinement ?
Pas le choix : on continue de se préparer à toute éventualité, et qui sait, peut-être qu’on aura un petit sursis ce weekend pour profiter du soleil ?
Alors voici quatre propositions d’activités culturelles pour continuer de rêver dans tous les cas cette fin de semaine : deux dehors, et deux dedans !
☀️ DEHORS
Une exposition curatée par le photographe et streetartist JR suivie d’une petite balade dans le quartier. Tu y retrouveras plusieurs œuvres d’artistes de l’Asie du Sud à l’Afrique du Nord contemporain.e.s que tu as déjà croisé.e.s sur le compte Instagram de Désoriental comme : une photographie extraite de la série “Les Marocains” de la regrettée Leila Alaoui, les timbres afro-rétro-futuristes de l’artiviste franco-algérien Kader Attia, des sculptures dorées qui questionnent les identités mondialisées, par le plasticien indien Subodh Gupta, les diapositives de photos vintage de l’artiste et physicien saoudien Ahmed Mater, ou encore les travaux de du third-culture kid indien américain Nikhil Chopra …
ou
Un grand bol d’air et de défoulage avec BollyX : une séance d’une heure de fitness en plein air sur des musiques de films Bollywood au bois de Vincennes, ce dimanche à 10h pour la modique somme de 5€ pour les adultes (gratuit pour les enfants).
🏠 DEDANS
Une exposition virtuelle qui explore les conséquences culturelles, intimes et collectives, de l’exil, selon trois directions : “Transmissions et mémoires”, “Omissions et ruptures” et “Nouvelles écritures”. “Ce qui s’oublie et ce qui reste”, sous-entendu quand on émigre et que l’on est déraciné, est une proposition du Musée national de l’histoire de l’immigration, en collaboration avec le MACAAL.
Ce qui s’oublie et ce qui reste
Musée national de l’histoire de l’immigration
En ligne jusqu’au 11 juillet 2021 (et prochainement IRL on l’espère !)
ou
Un festival dionysien (de Saint-Denis !) dédié au septième art dans le monde arabophone, qui propose cette année sa sélection de films gratuitement en ligne via la plateforme Festivalscope.
Panorama des cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient
En ligne jusqu’au 11 avril 2021
Crédits image de couverture : Œuvre : Independence disillusion, Kader Attia, 2014 / Photo : Sara De Santis